lundi 29 décembre 2014

Ce que nous apprend l’Enfant Dieu

Chronique de Noël 2
C'est le coup de génie de Dieu. Pour parler à l'homme, il décide que le Verbe se fait chair et habite parmi nous. Mieux encore, la Parole se fait petit enfant. Dieu parle dans les gazouillis d'un bébé. L'homme qui avait peur de Dieu, l'homme qui avait peur des commandements de Dieu se trouve rassuré parce que Dieu parle sous la forme d'un bébé ! Qui a peur d'un bébé – à part Hérode ? Qui n'est désarmé devant un bébé qui sourit ?
L'enseignement que Dieu nous donne à la crèche, c'est ceci : la Parole de Dieu est devenue un petit homme. Notre Dieu se révèle non pas sous la forme d'un texte, comme chez les musulmans, non pas sous la forme d'une pensée sage comme chez les bouddhistes. Notre Dieu a un visage. Ce que nous apprenons de Dieu, c'est le visage souriant d'un enfant qui nous l'enseigne. C'est là le principal message de Noël. Chaque visage d'enfant, chaque visage de vieillard, chaque visage de belle femme pulpeuse, chaque visage de mendiant, chaque visage humain nous parle de Dieu. Noël nous apprend à lire le palimpseste des visages autour de nous. Nous y découvrirons le plus bel Evangile, inscrit dans la chair. La Parole de Dieu est chair.
Celui qui sait lire le visage comme le paysage du cœur et le message d'amour du Seigneur, celui-là est un disciple de l'Enfant-Dieu. La gloire de Dieu c'est l'homme, et la gloire de l'homme, c'est la vision de Dieu à travers les signes incarnés qu'il met sur nos chemins.
Chronique de Noël par le conseiller ecclésiastique de la CNAFC, le père Philippe Verdin.

vendredi 26 décembre 2014

Accueillir la vie, c’est la donner

Chronique de Noël 1 : l'accueil de la vie
 
Il y a plusieurs récits d'Annonciation dans la Bible. A Sarah et Abraham, aux parents de Samson, à Anne, la mère de Samuel, à Zacharie, le père de Jean-Baptiste, à Joseph et Marie bien sûr. On est émerveillé car Dieu donne la vie à ceux qui n'espéraient plus, parce que qu'ils étaient trop vieux ou stériles. Dieu donne la vie et du coup redonne un sens à la vie des êtres qui la reçoivent.
Mais on peut être aussi un peu gêné. Car Dieu donne la vie, mais semble ensuite la réclamer, la reprendre. C'est le cas pour Isaac. Dieu lui a donné une vie inespérée. Mais il la réclame en sacrifice. C'est le cas pour Samuel. Dieu l'a donné à sa mère, mais le réclame tout jeune pour servir au temple. C'est le cas absolu pour le Christ, que le Seigneur a donné à la Vierge-Marie et aux hommes, et qu'il reprend sur la croix.
Toutes ces vies données répondent à des appels. Isaac ne se rebelle pas quand son père, les larmes aux yeux, le lie sur le bucher. Samuel dit : « Parle Seigneur, ton serviteur écoute ». Le Christ proclame le soir de sa passion « il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Vous êtes mes amis ! » Dieu donne, et celui qui a reçu offre volontiers ce qu'il a reçu.
Dieu donne pour que nous apprenions à donner. Dieu donne la vie pour que nous apprenions à la donner.
Rendons grâce à Dieu pour toute vie reçue. Apprenons à offrir la vie que nous avons reçue.
Chronique de Noël par le conseiller ecclésiastique de la CNAFC, le père Philippe Verdin.

Les AFC et la consommation


pour toute question, une adresse : afc65consommation@afc-france.org 

lundi 22 décembre 2014

Familles d'Irak dans le Diocèse de Tarbes Lourdes

Une opération baptisée Familles d'Irak a été lancée à l’initiative entre autres de la paroisse de Lourdes. Son objectif permettre l'accueil en Bigorre de familles chassées de leur pays pour seule raison qu'elles sont chrétiennes. Pour évoquer cette opération, Mathias Terrier à réuni autour de lui le curé de la paroisse de Lourdes, l'Abbé Duhar et Amer Chitou. Il est Irakien, vit en Bigorre depuis plusieurs années. Il nous parle de la situation actuelle des chrétiens en Irak.

Pour écouter l’enregistrement de Radio Présence:  cliquez ici

Pour les aider: site de l'opération Familles d'Irak

Le dossier de presse: consultable en ligne

Le Conseil constitutionnel valide la modulation des allocations familiales

Soixante sénateurs UMP ont saisi le Conseil Constitutionnel à propos du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015.
En effet celui-ci prévoyait, entre autre, la modulation des allocations familiales en fonction des revenus (article 85). Consulter le texte de la saisine.
Malheureusement, le Conseil constitutionnel a validé la proposition de modulation. Voir le texte de la décision.
Dans ces conditions les députés de la majorité ont définitivement adopté le texte du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Social (PLFSS).
La modulation des allocations familiales prendra effet en juillet 2015, contribuant à rendre toujours plus illisible la politique familiale. Cette mesure conduit une fois de plus à demander plus d'effort aux familles avec enfants.
Elle ouvre par ailleurs la porte à des modulations (mises sous conditions de ressources) d'autres prestations (maladie ? retraites ?...).

jeudi 18 décembre 2014

Marche pour la vie : digne jusqu'au bout de la vie

Le rapport CLAEYS-LEONETTI : ni euthanasie, ni suicide assisté, mais un pas de plus vers les deux
Le rapport sur la fin de vie des députés CLAEYS et LEONETTI a été rendu le 12 décembre. Ce rapport peut nous rassurer, car il commence par rappeler l'importance de l'accompagnement en fin de vie et du développement des soins palliatifs et ne parle ni d'euthanasie, ni de suicide assisté.
Cependant, si l'on y regarde de plus près, tout y est en germe :
  • les directives anticipées deviennent contraignantes,
  • un nouveau droit est donné au patient, celui d'une sédation profonde et continue jusqu'au décès, pour les personnes dont le pronostic vital est engagé à court terme.
Lire notre communiqué de presse pour connaître le détail des propositions et leurs conséquences
Cette sédation, qui provoque l'altération totale de la conscience jusqu'au décès, « doit répondre à la demande légitime des personnes atteintes d'une maladie grave et incurable qui envisagent leur fin de vie, de ne pas souffrir et ne pas prolonger, selon elles, inutilement cette période ultime. » Cette sédation sera « obligatoirement associée à l'arrêt de tout traitement de maintien en vie ».
Nous voyons bien que cette sédation profonde et continue jusqu'à la mort va plus loin que le seul soulagement des souffrances du patient. La frontière entre « donner la mort » et « soulager jusqu'à la mort » devient poreuse. On peut à juste titre s'inquiéter de cette volonté « de ne pas prolonger inutilement cette période ultime ». En résumé : ni euthanasie, ni suicide assisté, mais un pas vers les deux.
Fin de vie : une proposition de loi en janvier
A la suite du rapport, nous trouvons une proposition de loi déjà rédigée qui devrait être discutée à l'Assemblée Nationale fin janvier. Nous devons nous attendre à de nombreux amendements de ceux qui veulent aller plus loin. Tout est à craindre. Tout cela sur fond de sondages indiquant que les Français, dans leur grande majorité, sont favorables à une mort rapide, lorsque la médecine ne peut plus rien pour un malade en fin de vie.
Participer à la Marche pour la Vie le 25 janvier 2015
Nous ne pouvons donc nous rassurer à bon compte. Au contraire, il est important que nous soyons mobilisés pour alerter l'opinion publique sur les dérives inscrites dans cette proposition.
Une occasion de montrer notre détermination : la MARCHE POUR LA VIE du 25 janvier 2015.
Les AFC réaffirment l'importance du respect de la vie de la conception à la mort naturelle et affirment la dignité intrinsèque de l'Homme. Les AFC sont partie prenante de cette manifestation et invitent tous les responsables d'AFC à se mobiliser pour informer leurs adhérents, organiser des transports jusqu'aux lieux de manifestation et participer aux actions.

GPA : le Conseil d’Etat maintient la brèche ouverte par la circulaire Taubira

La circulaire Taubira du 25 janvier 2013 enjoint aux autorités compétentes de ne pas refuser la délivrance de certificats de nationalité française aux enfants issus de conventions de gestation pour autrui, GPA, pratiquées à l'étranger.

Plusieurs associations parmi lesquelles les AFC avaient saisi le Conseil d'Etat afin de faire annuler cette circulaire au motif qu'elle avait pour conséquence de faciliter un contournement de la loi française sur l'interdiction de la Gestation Pour Autrui (articles 16-1 et suivants du Code Civil, et articles 227-12 et 13 du Code Pénal ).

Dans un arrêt rendu le 12 décembre dernier, le Conseil d'Etat a pourtant considéré que « la seule circonstance que la naissance d'un enfant à l'étranger ait pour origine un contrat nul ne peut conduire à priver cet enfant de la nationalité française sous peine de porter une atteinte disproportionnée au respect de sa vie privée ». La haute juridiction rappelle qu'un enfant a droit à la nationalité française dès lors que sa filiation est légalement établie avec un Français en vertu de l'article 18 du Code Civil et sous le contrôle de l'autorité judiciaire.

Même s'il ne s'agit pas d'admettre la transcription de sa filiation à l'état-civil français, ou sur le livret de famille des parents - le Conseil d'Etat s'étant reconnu incompétent sur ce point - il s'agit bien de faire produire des effets en France à une filiation établie à l'étranger à l'égard d'un enfant issu de GPA, pratique pourtant illégale en droit français. Un enfant né par GPA à l'étranger pourra donc se voir délivrer un certificat de nationalité française, une carte d'identité et un passeport.

Le Conseil d'Etat prolonge ainsi la jurisprudence de la Cour Européenne des droits de l'homme qui avait estimé dans un arrêt rendu en juin 2014 que le refus de reconnaître les enfants nés par GPA portait « atteinte à leur identité ». C'est bel et bien une brèche qui s'est ouverte dans le principe d'indisponibilité du corps humain...
Les AFC restent vigilantes sur les risques d'un contournement facilité de l'interdiction de la GPA en droit français.

samedi 13 décembre 2014

Auprès de nos frères d'Irak

L'Evêque nous propose un temps de prière et de rencontre avec nos frères chrétiens d'Irak réfugiés dans notre département.

RV le mercredi 17 décembre à la maison St Paul
à 18h15 pour un temps de prière ensemble
suivi d'un repas partagé 
(chacun apporte un plat sucré ou salé pour 4)

Le rapport Leonetti-Claeys ouvre-t-il une porte à un droit à mourir ?

Communiqué de presse

 
Analyse du rapport Leonetti Claeys sur la fin de vie
Le rapport CLAEYS-LEONETTI sur la fin de vie a été remis ce matin au Président de la République. Il est le point d'orgue d'une série d'avis demandés par le chef de l'Etat qui s'était engagé, lors de sa campagne, à « introduire la possibilité de bénéficier d'une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité, dans des conditions précises et strictes ».

Que dit réellement le projet ?

Ce rapport a la volonté de créer de « nouveaux droits en faveur des malades et personnes en fin de vie » à partir de deux demandes qui, selon les auteurs, imprègnent l'ensemble du débat actuel :
  • voir ses volontés respectées,
  • être accompagné jusqu'à une mort apaisée.
Le projet propose une évolution de la loi existante :
  • les directives anticipées deviennent contraignantes, sauf exception dont le médecin devra se justifier,
  • un nouveau droit est donné au patient, le droit à une sédation profonde et continue jusqu'au décès, quand la souffrance est réfractaire, dans le cas d'un arrêt de traitement, lorsque le malade est en phase terminale de la vie, c'est-à-dire celle où le pronostic vital est engagé à court terme.
De plus le texte identifie la nutrition et l'hydratation artificielle comme un traitement, elles seront donc concernées par ces nouvelles mesures.

Un projet dans l'esprit de la loi Léonetti bien que plus contraignant

Nous apprécions que le texte affiche la volonté de faire des propositions sur l'accompagnement et la souffrance en fin de vie. Il rappelle l'importance du développement des soins palliatifs par la formation des médecins et le décloisonnement entre soins curatifs et soins palliatifs. Des points que les AFC soutiennent entièrement.
Les AFC déplorent cependant que le rapport, en instaurant de nouveaux droits pour le patient, crée également l'obligation, pour le corps médical, dans le cas d'un arrêt de traitements en phase terminale (dont l'hydratation et la nutrition), d'administrer au patient une sédation profonde et continue jusqu'à la mort, ne laissant aucune place à une objection de conscience.

Une mort qui n'est pas provoquée mais...

Cette sédation terminale provoque l'altération totale de la conscience jusqu'au décès, afin de soulager la souffrance et d'abréger la période ultime de la vie.
Cette sédation profonde et continue jusqu'à la mort, si elle n'est pas, comme l'avaient annoncé certains, une aide à mourir, va néanmoins plus loin que le seul soulagement des souffrances du patient. Si ce projet devient loi, cette zone ténue entre « donner la mort » et « soulager jusqu'à la mort » s'atténuera encore plus, au risque de préparer les esprits à un basculement vers un droit à mourir.

Nos propositions pour accompagner la fin de vie

Nous proposons :
  • de développer les soins palliatifs et la prise en charge précoce des souffrances ;
  • de former les médecins à l'accompagnement tout au long du parcours de santé ;
  • de soutenir l'accompagnement des personnes en fin de vie en encourageant le rôle des aidants familiaux et des bénévoles ;
  • d'informer les personnes en fin de vie sur leurs droits, les devoirs du personnel médical et les associations qui peuvent les soutenir.

L'Immaculée Conception expliquée sur Radio Présence

L’Église universelle fêtait le 8 décembre dernier l'Immaculée Conception ; une fête qui a attiré des milliers de pèlerins à Lourdes. Père Étienne Richer, membre de la Communauté des Béatitudes et chargé d'enseignement à la Faculté de Théologie à Toulouse, nous parle du dogme de l'Immaculée Conception.

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4

¨Pour soutenir Radio Présence,cliquez ici

Pour en savoir plus sur la communauté des Béatitudes: cliquez ici
 

mardi 9 décembre 2014

Restons vigilant sur la fin de Vie

Ouvert depuis l'élection de François HOLLANDE à la présidence de la République, le dossier de la fin de vie semble s'acheminer vers sa conclusion.
Après le dernier rapport du CCNE faisant la synthèse des précédents, le Premier Ministre a demandé à deux parlementaires : Alain CLAEYS, PS, et Jean LEONETTI, UMP, de faire des propositions. Ce rapport devait être rendu fin novembre, il est reporté au 12 décembre 2014.
Des fuites organisées sur ces propositions laissent entendre que :
  • Les directives anticipées deviendraient contraignantes, faisant des médecins les exécuteurs de la volonté du patient.
  • L'alimentation et l'hydratation artificielles seraient désormais considérées comme des traitements pouvant être assimilés à de l'obstination déraisonnable.
  • On passerait du laisser mourir sans faire mourir à une aide à mourir pour les patients en fin de vie dont le pronostic vital est fortement engagé. Cette aide à mourir consisterait en une sédation profonde jusqu'à la mort qui devrait advenir dans un délai non déraisonnable.
Ces propositions ne parlent ni d'euthanasie ni de suicide assisté, mais elles entrouvrent la porte des deux. En effet la sédation profonde n'est pas l'injection létale qui provoque la mort dans les minutes qui suivent, elle n'est pas non plus de l'assistance au suicide puisque c'est le médecin qui décide des doses et les met en place. Mais on peut dire, sans forcer le trait, que ces propositions sont les deux à la fois.
De plus, dans l'exercice de ce nouveau droit des malades à la sédation profonde, la clause de conscience ne sera peut-être pas accordée au médecin.
Quel sera maintenant le calendrier ? La date de fin mars est avancée.
Mais qu'en sera-t-il de la forme ? Un projet de loi ou une proposition de loi ? Des amendements seront-ils déposés pour aller au-delà du texte initial ? Quel périmètre sera laissé aux décisions par décret ?
Aujourd'hui, sur cette question, tout est à craindre d'un gouvernement qui cherche sa justification dans ce qu'il présente comme des avancées sociétales !

Pour en savoir plus, rendez vous sur le site des AFC:cliquez ici

Politique familiale en 2015 : où en sommes-nous ?

Après plus de deux mois de rebondissements multiples et variés, la mise sous condition de ressources des allocations familiales a finalement été votée le 1er décembre 2014.
Pourtant dès l'évocation de ce projet de loi, les AFC, conscientes des enjeux en matière de politique familiale, ont souhaité « battre le pavé » et la « toile » pour aller à la rencontre des Français et les sensibiliser. L'enjeu était de taille car la majorité des français, dont parfois nos propres adhérents, n'y étaient pas hostiles.
Nous n'aurons pas ménagé nos efforts pour faire face à un projet de loi inédit depuis 1945, qui est pourtant passé dans le cadre d'un simple financement de la sécurité sociale.

Que prévoit le texte ?

Il prévoit notamment la modulation des allocations familiales en fonction des revenus, selon des seuils fixés par décret : le montant serait divisé par deux pour les ménages avec enfants disposant d'un revenu d'au moins 6000 euros par mois, et divisé par quatre pour les ménages avec enfants disposant d'un revenu d'au moins 8000 euros par mois. Le Gouvernement n'aura pas besoin de passer devant le Parlement pour réviser à la baisse ces seuils, comme cela a été le cas pour d'autres prestations familiales. Mieux comprendre les impacts de cette mesure.

Le partage obligatoire du congé parental entre les parents a été maintenu, sans obligation pour le Gouvernement de remettre au Parlement un rapport d'évaluation de cette mesure votée dans la loi du 4 août 2014 (loi pour l'égalité réelle entre les hommes et les femmes). Elle prévoit un partage du congé parental à partir du 2ème enfant sans lequel la durée d'indemnisation sera réduite. Les décrets fixant les durées du partage obligatoire ne sont toujours pas parus, les dernières annonces prévoyaient 2 ans pour la mère, un an pour le père. Mieux comprendre les impacts de cette mesure.

N'ont finalement pas été adoptés : la diminution de la prime à la naissance en fonction du rang de l'enfant, le report de la majoration de 14 à 16 ans, et la diminution des aides à la garde d'enfants pour les ménages aisés.

Soixante sénateurs UMP ont saisi le Conseil Constitutionnel, le 3 décembre, sur l'ensemble du texte, et plus particulièrement sur l'article 85 instaurant la modulation des allocations familiales en fonction des revenus. Consulter le texte de la saisine.

Pour en savoir plus, rendez vous sur le site des AFC: AFC-France.org

Livret sur le crédit à la consommation

L’ASSOCIATION FRANÇAISE des sociétés financières (ASF) a publié un livret d’information intitulé :

« Crédit à la consommation : ce qu’il faut savoir » réalisé en coopération avec douze organisa-tions de consommateurs représentatives dont la CNAFC.

Aujourd’hui, plus de 13 millions de familles ont en ce moment au moins un crédit en cours. Cette importance économique et sociale explique la réglementation très contraignante qui s’impose à tous les préteurs.

S’engager dans une opération de crédit doit être un acte réfléchi.

Avant de se lancer, il faut être sûr de pouvoir faire face à des remboursements qui souvent durent plusieurs années et choisir le crédit adapté à son projet et à sa situation.

Qui peut bénéficier d’un crédit ?

Quelles précautions prendre ?

Quel financement choisir ? ...

cliquez ici pour tout savoir sur le crédit à la consommation

dimanche 7 décembre 2014

Fin de vie en débat: les clés pour comprendre

logo soulager mais pas tuerUn nouveau collectif d'associations parrainé par Philippe Pozzo di Borgo, dont la vie a inspiré le film Intouchable, est né sous le nom de Soulager mais pas tuer.

En prévision de la loi « fin de vie » annoncée pour 2015, ce collectif désire sensibiliser et mobiliser les Français autour des questions des soins palliatifs, de l'euthanasie et du suicide assisté au moyen d'un site pédagogique et d'actions symboliques dans toute la France.
Le site propose entre autre deux infographies claires sur, d'une part, le besoin de soins palliatifs en France et, d'autre part, l'engrenage des lois concernant l'euthanasie, de plus en plus permissives dans nos pays limitrophes.
Les AFC relayent cette initiative qui rejoint nos propositions sur l'accompagnement de la fin de vie :
  • développer les soins palliatifs et la prise en charge de la souffrance,
  • former les médecins à l'accompagnement tout au long du parcours de santé,
  • encourager les familles et les bénévoles à prendre leur place dans cet accompagnement,
  • informer les personnes concernés sur leurs droits et sur les devoirs du personnel médical.
Pour en savoir plus :

Lire le vademecum des AFC 

Synthèse du CCNE sur la fin de vie

La spiritualité Missionnaire du Pape François

Affichage de 6 jan découverte pape François.jpg en cours...

Monseigner Brouwet au micro de Radio Présence

 


Pour entendre l'interview de notre Évêque, cliquez ici